Kwamy et Franco dont la rivalité a débordé du cadre musical se trouvent réincarnés par Félix Wazekwa et Koffi Olomide qui entretiennent une polémique lasse et inutile.
Depuis la sortie du dernier opus de Koffi Olomide, le débat dans le milieu intéressé tourne autour de sa valeur artistique en comparaison à d’autres albums l’ayant précédé sur le marché du disque. “ L’album du prêtre ”ainsi qu’on l’identifie a la particularité de mettre tout le monde d’accord dès la première audition, preuve que l’artiste s’est surpassé pour offrir à ses nombreux fans un travail de qualité.
D’une manière générale, l’album convainc de part sa conception et surtout la diversité des thèmes développés abordant tous les aspects de la vie.
Déjà le featuring avec le Grand Youssou N’dour le fait démarquer d’une rituelle purement locale. Avec Lokwa Kanza, c’est la découverte de nouvelles sensations qui pousse le génie musical de l’artiste au faite de l’excellence.
Koffi s’inspire également des travers de sa société empestée par l’avalanche des “shégués ” qu’il invite à retrouver le toit parental.
Là où les mélomanes attendaient voir les transfuges de Cultur’A s’exprimer profondément, Koffi ne leur concède que des courtes vocalises jetant son dévolue sur une chanteuse sortie des nues.
Au moment où les mélomanes dégustent les rumbas qui constituent le point fort de cet album, Félix Wazekwa se cabre toujours dans ses génériques tonitruants et endiablés en annonçant “ La Chèvre de Monsieur Séguin ”.
Le leader de Cultur’A annonce les couleurs dans une production à la Fikin où les pas de “La Chèvre de Monsieur Séguin “sont exhibés au public.
Quelle est l’alternative que brandit Félix Wazekwa pour contrer le rouleau compresseur du Tshatho nouvelle formule ? Une question qui taraude l’esprit de nombreux mélomanes face à l’obstination de Wazekwa à persister dans des génériques devenus lassants et ennuyeux.
Sur ce registre, Koffi Olomide qui a déjà jeté l’éponge, reconnaît ses limites et ne pense pas également Félix Wazekwa qui en a fait une spécialité.
“Que demande le peuple ”qui doit son succès au seul générique s’oppose nettement à “ l’album du prêtre ” piloté de fond en comble par des rumbas langoureux. Deux styles d’approche musicale qui se repoussent tout en recoupant sur la polémique à laquelle se livrent les deux artistes se renvoyant des boutades.
L’escalade verbale qui caractérise les deux albums sur fond d’injures à peine voilées est symptomatique d’une inimitié exacerbée par des fans surexcités. Kwamy et Franco dont la rivalité a débordé du cadre musical se trouvent réincarnés par Félix Wazekwa et Koffi Olomide qui entretiennent une polémique lasse et inutile.
Depuis la sortie du dernier opus de Koffi Olomide, le débat dans le milieu intéressé tourne autour de sa valeur artistique en comparaison à d’autres albums l’ayant précédé sur le marché du disque. “ L’album du prêtre ”ainsi qu’on l’identifie a la particularité de mettre tout le monde d’accord dès la première audition, preuve que l’artiste s’est surpassé pour offrir à ses nombreux fans un travail de qualité.
D’une manière générale, l’album convainc de part sa conception et surtout la diversité des thèmes développés abordant tous les aspects de la vie.
Déjà le featuring avec le Grand Youssou N’dour le fait démarquer d’une rituelle purement locale. Avec Lokwa Kanza, c’est la découverte de nouvelles sensations qui pousse le génie musical de l’artiste au faite de l’excellence.
Koffi s’inspire également des travers de sa société empestée par l’avalanche des “shégués ” qu’il invite à retrouver le toit parental.
Là où les mélomanes attendaient voir les transfuges de Cultur’A s’exprimer profondément, Koffi ne leur concède que des courtes vocalises jetant son dévolue sur une chanteuse sortie des nues.
Au moment où les mélomanes dégustent les rumbas qui constituent le point fort de cet album, Félix Wazekwa se cabre toujours dans ses génériques tonitruants et endiablés en annonçant “ La Chèvre de Monsieur Séguin ”.
Le leader de Cultur’A annonce les couleurs dans une production à la Fikin où les pas de “La Chèvre de Monsieur Séguin “sont exhibés au public.
Quelle est l’alternative que brandit Félix Wazekwa pour contrer le rouleau compresseur du Tshatho nouvelle formule ? Une question qui taraude l’esprit de nombreux mélomanes face à l’obstination de Wazekwa à persister dans des génériques devenus lassants et ennuyeux.
Sur ce registre, Koffi Olomide qui a déjà jeté l’éponge, reconnaît ses limites et ne pense pas également Félix Wazekwa qui en a fait une spécialité.
“Que demande le peuple ”qui doit son succès au seul générique s’oppose nettement à “ l’album du prêtre ” piloté de fond en comble par des rumbas langoureux. Deux styles d’approche musicale qui se repoussent tout en recoupant sur la polémique à laquelle se livrent les deux artistes se renvoyant des boutades.
L’escalade verbale qui caractérise les deux albums sur fond d’injures à peine voilées est symptomatique d’une inimitié exacerbée par des fans surexcités. Kwamy et Franco dont la rivalité a débordé du cadre musical se trouvent réincarnés par Félix Wazekwa et Koffi Olomide qui entretiennent une polémique lasse et inutile.
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