Habitué de grands événements, le leader de Wenge Musica MM est conscient que pour réussir un beau spectacle il ne faut rien laisser au hasard. Depuis plusieurs semaines, il est très occupé avec son groupe et ses danseuses dans leur fief de Kinshasa.
Plus de six ans après une double production aux affluences record dans cette salle parisienne, le chanteur Werrason revient au Zénith de Paris pour un nouveau spectacle programmé pour le 8 novembre 2008 à partir de 23 heures. Ce grand rendez-vous musical sera notamment l’occasion, pour Werrason, de présenter officiellement le dernier album de son groupe “ Temps présent, Mayi ya Sika ”(1) réalisé avec une équipe largement renouvelée.
Ce concert fera sans doute franchir un pallier aux nouvelles recrues, que Werrason a certes déjà présentées au public lors d’une précédente tournée européenne, qui les avait conduits notamment en Espagne et en Belgique. À Paris, le 8 novembre 2008, c’est un music hall de 5 830 places assises que Werrason et son groupe devront remplir et, surtout, offrir à leurs occupants un spectacle à la hauteur de leur popularité. À noter que Zénith est la deuxième salle de la capitale française en termes de capacité après Bercy (17 000 places assises).
Habitué des grands événements, le leader de Wenge Musica MM est conscient que pour réussir un beau spectacle il ne faut rien laisser au hasard. C’est ainsi que, depuis plusieurs semaines, il est très occupé avec son groupe et ses danseuses dans leur fief de Kinshasa La Zamba Playa. Ils travaillent sans relâche sur le répertoire et préparent des chorégraphies qu’ils vont présenter lors de ce spectacle tant attendu par le public.
De son vrai nom Noel Ngiama Makanda, Werrason est l’un des artistes les plus populaires et les plus adulés de son pays. D’apparence timide et très humble, c’est une véritable bête de scène, un véritable showman dont chaque apparition déchaîne des foules. Notamment à Kinshasa, la capitale de la RDC, son pays, où il compte de milliers de fans parmi les jeunes et les enfants de rue auxquels sa fondation vient en aide. Surnommés “ Majorité plurielle ”, ces jeunes le lui rendent plutôt bien comme l’a constaté notre confrère David Cadasse d’Afrik.com : “ Il draine à chaque fois derrière lui de véritables marées humaines de fans et de badauds. Une foule parfois difficile à gérer. Comme à l’occasion de son dernier concert au Stade des Martyrs ou les fans ont réussi le tour de force de défoncer l’impressionnant portail du stade ”.
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