vendredi 12 décembre 2008

Gabon/Musique : Le samedi 06 décembre à la salle de spectacle de la cité de la Démocratie de Libreville Annie-Flore Batchiellilys a assuré !!!

Il fallait y être pour le vivre ! Annie-Flore Batchiellilys, a époustouflé les mélomanes et fans de première heure, ayant répondu à son invitation. Non seulement la salle fut noire d’un monde venu de tous horizons et issus de toutes les couches sociales mais c’est par ailleurs une Annie-Flore Batchiellilys revigorée qui a entretenu son public. Mission accomplie.

© D.R
Le samedi 06 décembre dernier, Miss Diboty s’est comme à l’accoutumée, vêtue de blanc pour recevoir ses admirateurs ayant répondu à son appel. C’est une chanteuse pleine de fraîcheur et de tonus que les spectateurs ont pu retrouver. Hormis les chorégraphies qui venaient apporter une nouveauté au spectacle, ce sont des jeux de scène qui ont apporté une touche en plus.Effectivement, c’est dans un costume blanc, un pagne blanc imprégné que la fille de Mighoma s’est présentée à ses admirateurs qui ont retrouvé non pas un jeune femme, mais une jeune fille pleine d’entrain et gonflée à bloc. La chanteuse qui pour les besoins du concert a eu recours aux services des danseurs ayant participé en début d’année à l’émission «AfricaStar», s’est prêtée aux jeux des chorégraphies.La scène quant à elle était une vraie merveille. L’on aurait pu se croire…au village. Les spectateurs venus nombreux, surpris et émerveillés par cette mise en scène, n’a pu que répondre présent à la fête. Oui, la fête de la musique gabonaise représentée dans son entièreté c’est-à-dire à la fois traditionnelle et moderne.Aussi, toujours énormément proche de son public, Annie-Flore s’est exprimée au sujet de la question des droits d’auteurs et a confié aux spectateurs parmi lesquels, des hautes autorités de la République gabonaise. L’artiste déclarera que la question des droits d’auteurs dépend de tout un chacun, l’avenir des créateurs des œuvres de l’esprit dépend non seulement de la conviction mais aussi, de l’effort des uns et des autres. De même « sans les moyens via les droits d’auteurs, rien n’est possible.». Et comme tout le monde le sait, un spectacle d’Annie-Flore sans émotion, ce n’est pas possible. Ainsi, marquant une brève pause sur le récit des moments pénibles de son parcours musical, la jeune femme a émut l’assistance de ses larmes en insistant sur la situation des artistes gabonais qui à force de demander, finiront par être considérés comme des mendiants.Durant quatre heures, la chanteuse gabonaise a su tenir en haleine un public venu retrouver son idole pour des instants qu’ils prédisaient déjà d’inoubliables et ce fut le cas.Soulignons d’autre part, dès 2009, la chanteuse démarrera une tournée dans l’arrière pays afin respecter sa parole au sortir de son concert de l’Olympia en début 2008. bravo !!!

vendredi 14 novembre 2008

Concert du Zénith : Werrason se fait « ambassadeur de la pornographie »

Le concert a duré deux fois moins que prévu avec trois heures de retard sur l’horaire annoncé. Aucun mot d’excuse, aucune explication comme si sa célébrité lui valait l’absolution de tous les manquements au contrat passé avec les mélomanes.
Le public est abasourdi. Trois minutes plus tard, Werrason déploie, sur scène, une banderole dénonçant la guerre au Nord-Kivu avec dessus les photos des déplacés de la guerre parmi lesquelles sans doute des femmes violées aussi. La danseuse qui venait de se palper les parties génitales avec sa main droite, tient cette banderole sacrée avec la même main droite… Plus tôt, lui-même Werrason s’était présenté sur le devant de la scène, puis goguenard, avait serré ses parties génitales avec sa main droite ! Dans la foulée, la danseuse Linda n’en finissait pas de se caresser l’entrecuisse avant de se mettre en califourchon en tenant le pied du
micro, le postérieur tourné vers le public.Et pourtant, c’est un spectacle de musique qui allait faire date qu’on nous avait annoncé et Werrason avait, en plus, promis de jouer en pensant aux populations du Nord-Kivu… Finalement, lui et ses danseuses ne pensaient qu’à aguicher, à choquer. Pour ceux qui nous accuseraient d’avoir l’accusation facile, je vous livre la définition de la pornographie puisée dans le dictionnaire : « Représentation (sous forme d’écrits, de dessins, de peintures, de photos, de spectacles, etc.) de choses obscènes, sans préoccupation artistique et avec l’intention délibérée de provoquer l’excitation sexuelle du public auquel elles sont destinées ». Le bien-nommé « ambassadeur de la paix » était devenu, le temps d’un concert au Zénith, l’ambassadeur de la pornographie.Et pourtant, à défaut d’atteindre des sommets, le concert dégageait une réelle volonté de bien faire de l’orchestre. Les chanteurs déroulaient des chorégraphies bien rodées mais qui manquaient une dose d’élégance. Les danses exhibées exigeaient, en effet, une très bonne condition physique et étaient plus près des contorsions que des élégantes danses congolaises. Le spectacle est très élaboré. Les chanteurs sont disciplinés et laissent entrevoir du talent sauf quand ils soumettent leurs cordes vocales au supplice en criant au lieu de chanter. Les chansons sont trop longues et interminables pour accrocher le public. Le synthétiseur mange hélas les guitares et la basse qu’on n’entend pas d’une manière distincte. Petite déception aussi pour les lumières : minimalistes, éparses et pas du tout en rapport avec l’occupation de la scène. Quand Werrason consent enfin de monter sur scène, à 3 heures 45, dans une salle remplie à ras le bord, le show redouble d’ardeur et le public de Wenge trouve un très bon Wenge MMM, excellent dans son style. C’est du bon Werra et même du très bon Werra. Cela va durer une bonne heure et demie avant de retomber dans le quelconque et la désinvolture pour atteindre le chloroforme vers cinq heures du matin. Le public semble las. Même quand Werra lui demande de lever les bras pour la paix en RDC, à peine cent personnes suivent. Le rappeur Youssouffa qui fait un duo avec Werra en fera même les frais malgré un discours bien à-propos sur la RDC. Quand à 5 heures 45’, l’orchestre arrête pas le moindre applaudissement et personne ne s’en plaint. Logique, à la fin la star passait son temps à multiplier des dédicaces en contretemps et à chanter dos tourné au public, face à son batteur.Le public, dindon de la farcePublicité mensongère ou mépris du public, au-delà des épisodes pornographiques de son concert, Werrason a annoncé des invités que personne n’a vus. A part le rappeur Youssoufa, aucune personnalité du showbiz annoncé n’est venue : point d’Anelka, de Claude Makelele, de Trésor Lualua… De plus, le concert a duré deux fois moins que prévu avec trois heures de retard sur l’horaire annoncé. Aucun mot d’excuse, aucune explication comme si sa célébrité lui valait l’absolution de tous les manquements au contrat passé avec les mélomanes.Au petit matin, quand les lampions se sont éteints, Werrason venait de se délester de la sympathie et de l’admiration de beaucoup de mélomanes.

ATTENTION LES ZOUKEURS ... MEDHY CUSTOS EST DE RETOUR !!!

Le chanteur originaire de la Guadeloupe Medhy Custos fait son retour sur les devants de la scène musicale avec un nouveau single, intitulé « Mes Divas ». Ce futur tube...annonce son nouvel album studio baptisé « Ouvrir Mes Ailes » dont la sortie est prévue le 29 décembre 2008 chez Up Music. Avec cette chanson originale imparable dès la première écoute, le chanteur guadeloupéen revient cet automne avec ces rythmes zouk entraînants ayant fait de lui un artiste majeur en matière de world music et notamment de zouk music, ainsi qu'avec une voix des plus veloutées et séduisantes. Illustré par un clip qui est en passe de déferler sur les chaînes musicales et Internet, « Mes Divas » est en quelque sorte un clin d'oeil à son public essentiellement féminin qui le suit et l'adule sur scène comme dans la vie quotidienne d'ailleurs. Avec son nouvel extrait, Medhy Custos va encore frapper très fort et réchauffer les coeurs grâce à sa voix de velours et son irrésistible charme. Son précedent opus (lancé en janvier 2007) s'est vendu vendu à plus de 60 000 exemplaires. A suivre. pa ni problem!

vendredi 7 novembre 2008

Magic System va composer une chanson pour Allassane Ouattarra

Onze disques d'Or. Un disque de platine. Des distinctions honorifiques à la pelle. Ornés par deux décorations de la République ivoirienne. Voici résumé, le parcours glorieux de quatre jeunes garçons du faubourg d'Anoumabo. Bien plus qu'eux, personne ne les aurait imaginés à ce stade. Mais la magie de la vie. C'est ça. Elle sourit à qui veut. Wôyôs à leurs débuts ; pour le compte de chapelles politiques, à l'instar de bien de groupes d'ambiance facile, ces garçons réunis sous le vocable de Fabio Choc. Avant l'épopée Magic System. Offraient leurs voix. Au prix de tee-shirts estampillés à l'effigie de candidats à des postes électifs . C'est dire que dans l'antichambre, du star System, ils donnaient déjà de la voix pour soutenir des leaders politiques. Nous étions plus ou moins à l'époque du parti cinquantenaire. La décrispation dans la sphère politique ivoirienne ouvrait une brèche à bien de réflexions. Avant un quelconque engagement aux côtés d'un leader politique. Quand bien même l'on épouserait ou pas son idéologie politique. Dans ce climat, de manière ouverte. Et ce, jusqu'à ce jour, l'on ne connaît au groupe Magic System une position claire aux côtés d'un parti ou d'un leader politique. Dans un passé récent, l'on pouvait aisément avancer cette thèse. La dernière lecture de leur sortie avec ses dessous amènent à tirer une certaine conclusion.



Composition d'une chanson pour le RDR
Ayant donné leur parole à un dirigeant jeune du Rassemblement Des Républicains, les Magiciens profiteront, loin des spotlights ivoiriens. Pour entériner de manière formelle leur engagement d'être désormais des luttes républicaines. Cela va être traduit par une belle composition qui soutiendra la campagne du parti cher au docteur Alassane Dramane Ouattara. Aussi profitant de leur tournée étasunienne, les gaous ont-ils invité Mme Dominique Folleroux, épouse Ouattara, à l'un de leurs concerts. La suite, ils ont été reçus au domicile du couple. Les dessous d'une telle rencontre. Formaliser la parole donnée à l'un des responsables de ce parti. Pour un projet musical en soutien à l'idéologie du Rassemblement Des Républicains.



Une certaine versatilité ?
Faut-il en parler ? Nous n'osons franchir le pas. D'autant plus que l'acte posé par ces garçons n'est pas une grande première. Mais à interroger l'histoire. Il y a sous peu, l’idylle entre eux et le leader des jeunes Patriotes, Charles Blé Goudé, croulait comme un château de cartes. En sus, l'apologie ostentatoire dont faisait l'objet le président Laurent Gbagbo de la part du leader du groupe Magic System. Qui, à titre d'exemple, lors de leur décoration au Palais présidentiel, disait : “Le Président Laurent Gbagbo est pour nous un exemple de détermination, de combattant. Nous prenions sa vie comme reflet. Et cela nous amenait à ne pas abandonner malgré les viscitudes et les misères de la vie…”
Poser donc un tel acte, à la suite d'un désamour. Pourrait amener chacun à tirer sa conclusion. Pour l'heure, place à l'idylle Ouattara-Magic System qui sera soldée et matérialisée par un hymne en soutien au RDR.

Guillaume Vergès

La nuit des Oscars du zouglou - Yodé et Siro sur la plus haute marche !!!

Les zougloumen Yodé et Siro ont été élus zouglou d'or de l'année 2008, à la faveur de la première nuit des Oscars du zouglou qui s'est tenue le samedi 1er novembre au Palais de la Culture de Treichville. Au cours de cette soirée, le président du jury de la cérémonie, Georges Wenceslas Simbi Aboké, conseiller spécial du chef de l'Etat, a décerné aussi au duo de Gbatanikro, le prix du meilleur concert zouglou live de l'année 2008.
Dans les autres catégories, les Patrons, Petit Denis alias Denco et Espoir 2000 ont reçu respectivement l'Oscar de la meilleure mélodie, l'Oscar de la meilleure création et l'Oscar des meilleurs thèmes.
Pour ce qui est des prix spéciaux, Charles Blé Goudé, président du COJEP, a reçu le prix du meilleur mécène. David Tayorault, lui, a été désigné meilleur arrangeur zouglou.
Enfin, A'Salfo, Goudé, Manadja et Tino du groupe Magic System ont été élus meilleurs ambassadeurs du zouglou hors des frontières nationales.
Le public, qui a répondu nombreux à cette soirée initiée par Barnabé Bouagnon, Eric Ramzi et Yves Hamilton de la structure Lestudiocarré, en plus des prix décernés aux artistes a apprécié le grand show live animé par les Patrons, Yodé et Siro et Denco.
Si Eric, Dodo La Joie, Clenso et Vino du groupe les Patrons ont semé la joie dans le coeur des spectateurs. Yodé et Siro, eux, les ont fait danser.
Quant à Denco, il les a fait pleurer de bonheur. Chacun d'eux a égrené quelques succès de son répertoire qui a permis à leurs fans de passer des moments inoubliables.
Le DG de Leaders Team événement, Angelo Kabila, a annoncé au cours de cette soirée que Charles Blé Goudé a décidé d'apporter son soutien aux organisateurs en offrant à chaque lauréat la somme de 200.000 FCFA.
"La cérémonie de remise des enveloppes est prévue avant la fin de cette semaine", a-t-il ajouté
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Etats-Unis/People : Jay-Z maire de New York !

Après l’accession au fauteuil présidentiel du sénateur de l’Illinois, Barak Obama, est-ce qu’il serait possible à Jay-Z d’accéder lui aussi à un poste très convoité ? La mairie de New-York ? Le rappeur, producteur et homme d’affaires aurait l'intention de se présenter aux prochaines élections municipales de New York.
Barack Obama aurait-il ouvert la porte de la réussite, à tous les noirs voulant accéder à des postes stratégiques ? Evidemment, non ! Pourtant, Jay-Z aurait été frappé par une soudaine envie, celle de faire carrière dans la politique. De fait, selon des rumeurs, le showman et producteur américain souhaiterait de se présenter aux prochaines élections municipales de New-York,élections qui auront lieu l’année prochaine. Par ailleurs, selon d'autres sources, le rappeur serait en passe de conclure les plus gros marchés de l'histoire du Hip-Hop. Jay-Z voudrait signer quelques-unes des plus grandes pointures de la musique urbaine américaine sur son nouveau label en préparation parmi lesquelles : 50 Cent, dont le contrat avec Interscope s'achèvera en décembre, Janet Jackson et Jermaine Dupri, sans oublier sa douce moitié Beyoncé.

Gabon/Musique : Annie-Flore Batchiellilys en concert à la salle de spectacle de la cité de la Démocratie le 06 décembre prochain !

Le fait de pouponner n’empêche pas à Annie-Flore Batchiellilys, de penser à ses fans en offrant à ces derniers, un superbe cadeau de fin d’année. La chanteuse gabonaise se produira le 06 décembre prochain à la salle de spectacle de la cité de la démocratie de Libreville au Gabon.
L’auteur compositeur et interprète Annie-Flore Batchiellilys, est actuellement sur les préparatifs de son prochain spectacle, un rendez-vous fixé à ses fans et aux mélomanes vivant au Gabon. Celle qui allie tradition et modernisme, a choisi le mois de décembre prochain pour clore cette année 2008 en beauté.La jeune femme qui démarrait l’année en fanfare en se produisant avec toute son équipe dans la prestigieuse salle de l’Olympia de Paris en France le 21 janvier dernier et poursuivait sur la même lancée avec, le double concert du Centre Culturel Français de Libreville puis celui de la foire des expositions sans oublier, le festival des nuits atypiques de Mighoma qui a lui aussi, drainé une fois de plus, du beau monde, a comme toujours fait la navette entre son pays le Gabon et, le reste du monde où elle est sans cesse invitée à se produire.Figure de proue de la «jeune» musique gabonaise et de la scène live dans son pays, elle est et est restée tout au long de cette année, omniprésente sur le continent africain, en Europe et même en Amérique du Nord où elle se produit fréquemment. Annie-Flore ne s’arrête donc pas là, puisque le 06 décembre prochain, elle a choisi la salle des spectacles de la cité de la démocratie pour boucler cette année pleine de surprises agréables telle la naissance d’un quatrième enfant.Aussi, concernant le prochain concert, signalons qu’il est possible d’offrir des places aux proches en pianotant dès à présent à cette adresse électronique : floremandji.b@gmail.comHormis le billet d’entrée qui coûte quinze mille francs CFA par personne, il sera également possible de se procurer les œuvres musicales de l’artiste à des prix de fête : l’album «Diboty » à huit mille francs CFA, «Je t’invite», «Le chant c’est mon chant» au même prix, son premier opus «Afrique mon toit» à cinq mille francs l’unité et pour terminer «Broute bien» à trois mille francs CFA. Les fêtes s’annoncent plutôt bien !

Cameroun/Musique : Queen Etémé sort son 2ème opus «Lafi» !

C’est le grand retour de la chanteuse camerounaise, Queen Etémé. Cinq années après la sortie de son premier effort, l’artiste présentait « Lafi » dans la capitale française. C’est au cours d’un showcase que le public a pu découvrir en exclusivité le nouveau produit de la vedette camerounaise. « Réveille-toi », est le single promotionnel de «Lafi».
Queen Etémé, l’une des plus belles voix du continent, effectue après cinq années de grand vide dans les bacs, son retour. S’exprimant pour quelle raison il lui a fallu autant de temps pour revenir, la chanteuse a répondu à nos confrères du site Afrik.com : «C’est le temps qu’il m’a fallu pour me nourrir d’expériences et de rencontres. Il me fallait du temps pour synthétiser tout cela, pour digérer tout ce que j’ai accumulé comme émotion pour pouvoir le partager dans un nouvel opus. Parallèlement à cela, j’ai fait beaucoup d’autres choses, en France et en Afrique, que travailler sur mon nouvel album. J’ai monté de nombreux master classe de chant (ateliers de formation) et je me suis beaucoup investie dans des causes qui me tiennent à cœur, comme l’autisme (son fils est autiste, ndlr), la drépanocytose ou les enfants malades.«Lafi» arrive donc à point nommé et, Queen Etémé qui se devait d’être en pleine forme pour ce retour qu’elle souhaite très bruyant ; et on imagine bien pourquoi, a donné à cet album un titre qui selon elle le prouverait : «Tout va bien» en moré, langue du Burkina Faso. Pour Queen Etémé, c’est le symbole d’un état d’esprit. Les artistes, qui sont un peu des leaders d’opinion, constituent un espoir. Avec «Lafi», l’artiste veut dire à tout le monde de croire en ses rêves. Et, pour lancer cet opus, elle a choisi l’extrait «Réveille-toi comme prolongement de la symbolique du titre de l’album.Partie technique, «Lafi» a été réalisé entre l’Afrique et l’Europe. Pour l’auteur compositeur interprète, il le fallait. Selon ses propos : « L’Afrique est la base de mon inspiration, car c’est la base de ma culture. J’avais envie de rencontrer des gens. Je cherchais cette étincelle qui me nourrit et me grandit. Il y a une véritable authenticité là-bas. Les artistes jouent avec le cœur et toute l’énergie de leur musicalité. C’est une autre méthode de travail qui n’a rien à voir avec ce qui se passe en France par exemple. En Afrique, il n’y a pas ce côté « syndicale » qu’on retrouve ici. Là-bas, si on estime que ce n’est pas bon, on recommence jusqu’à avoir la bonne tonalité. Il n’y a pas la contrainte du temps et tout se fait en partage. J’aime cette générosité artistique. Et puis il y a des artistes extraordinaires. Je suis toujours impressionnée par les talents que je croise en Afrique. Là-bas je vous assure que vous prenez des claques. En plus de leur amour pour la musique, ils ont tous une soif d’apprendre.«Lafi» est un savant mélange de toutes les influences. Il faut savoir prendre des risques parce que, comme elle le dit si bien, elle reste au service de la musique. Bon retour !

Voici le film du mariage de Koffi Olomide et la journaliste Magic Wawina !!!

Chose promise, chose due. Après quelques années de fiançailles, le réparateur de coeur brisé vient d'accomplir son voeu le plus ardent de sa vie. Koffi OLOMIDE l'a fait sans complaisance pour honorer la journaliste Magic Koracoeur, son épouse. La présence physique du Roi de Tcha-tcho chez la belle famille a fait bouger tout Bandal où le mariage a eu bel et bien lieu.
La date du 24 octobre restera gravée dans la mémoire des immortels de la musique en République Démocratique du Congo. La méga star de la chanson congolaise, Antoine Mumba Agbepa alias, Koffi Olomide Mopao Mokonzi a décidé d'officialiser son union avec Judith WAWINA LIFOKA, surnommée Magic, une des journalistes vedettes de la télévision à Kinshasa. Le mariage coutumier, c'est un véritable mariage reconnu par Dieu, dit-on. L'artiste musicien a versé la dot due, conformément aux coutumes de la belle famille. L'enfant chéri de Maman Mi, Antoine Agbepa a défendu son titre de « Grand Mopao » en répondant favorablement à la demande pour honorer Magic Wawina, la femme de son rêve.
Le mariage coutumier a eu lieu vendredi et samedi derniers, soit deux jours successifs chez les parents de la journaliste, fille de feu Maizaf, au quartier Tshibangu, à Bandalungwa, une des communes les plus huppées de la capitale.
Scandale à Bandal !
Il était minuit passé de quelques minutes lorsque Koffi Olomide en chair et en os, s'est présenté officiellement devant la porte de sa belle famille. A son arrivée, il était habillé en costume deux pièces de couleur marronne brillante, style Beverly, griffe non dévoilé. Il était seul au volant de sa voiture de marque Jeep, nouvelle série Cadilac.
Tout le quartier était sens dessus sens dessous. Les voisins et les passants se confondaient.
Une véritable première dans l'histoire de la musique de voir un artiste musicien organiser pendant deux jours consécutifs la fête de son mariage coutumier.
Le vendredi 24 octobre, c'était une soirée exceptionnelle réservée aux membres de famille ainsi qu'à quelques invités de la part de la journaliste. Aucun invité du côté de mari même pas ses proches si ce n'est que les membres de la famille Agbepa !
Un mariage en bonne et due forme
Le mariage ne se limite pas au couple. C'est une union approuvée entre les deux familles. Pour ce faire, Koffi Olomide s'est fait accompagner de quelques doyens de sa famille dont le célèbre Oncle R-C Olomide, Honorable Massamba et ses tantes paternelles. Ces derniers, signale-t-on, sont venus un peu tôt avant l'arrivée de leur fils Antoine Agbepa qui était aux anges cette nuit là.
52 ans, le patron de Quartier Latin International n'avait pas besoin d'être représenté par une quelconque personne membre de sa famille. Selon nos fins limiers, jamais on a retrouvé un Koffi joyeux, plein d'allégresse comme le jour de son mariage coutumier avec Magic 6. Sa présence fort remarquée a réconforté pas mal de gens qui se sont déplacés pour assister à la manifestation. Le grand festin a eu lieu le samedi où Grand Mopao était assisté cette fois-là de son staff ainsi que ses proches directs.
Des sources sûres confirment que dans la nuit de samedi à dimanche la fête a connu un engouement terrible avec les nombreux invités dont les amis de la presse, les camarades, amis et connaissances de la famille. Ils ont tenu à honorer l'heureux couple Olomide. Il y avait beaucoup gens du côté de la star. L'ambiance a été comparable à un concert, apprend-on d'Alain KABUNGU, un des invités d'honneur de MAGIC WAWINA. Ce dernier confirme que la descente du Roi de Tcha-Tcho à Bandal a mis tout le quartier en ébullition.
Des boissons, des nourritures à gogo assaisonnées d'une bonne musique, ont favorisé cette réjouissance solennelle, digne d'une soirée signée Koffi qui n'échoue jamais.
Les fanatiques de Tcha-tcho doivent se taper la poitrine pour la réussite de la soirée de leur leader qui était bel et bien en chair et en os à la cérémonie pour confirmer son mariage dont l'opinion a tant parlé à travers les rues de Kinshasa.
Koffi honore ses engagements !
Connaissant bien son homme, la reine de la soirée Judith Wawina gardera toujours un moral calme, super posé. Elle savait bien que quelle que soit la durée de la nuit, Koffi finira par fouler le sol de Bandal. Les jaloux ont été confondus ce jour là ! Tranquille, l'hôte de la soirée n'a pas caché ses sentiments de voir la chaire de sa chaire et l'os de ses os (Magic OLOMIDE) qui brillait plus que de l'Or.
Ce n'est pas hasard que Koffi a posé un tel engagement honorable. D'après une source proche de Quartier Latin, Mopao Mokonzi l'a fait en âme et conscience parce que MAGIC mérite mieux ! D'abord, la star est convaincue non seulement par sa beauté intérieure, c'est-à-dire l'aspect physique mais aussi intérieure qui se justifie par rapport à son comportement.
Deux pieds sur terre, la charmante Magic est parmi les rares femmes qui maîtrisent l'artiste. Pas d'agitation, la journaliste ne cède pas facilement aux bobards de la rue. Vingtaine révolue, WAWINA met toujours sa confiance à Dieu, le Maître de temps et des circonstances et aspire à un avenir meilleur à côté de Papa Fleur qui vient de valoriser sa valeur féminine.
On peut déjà glorifier l'Eternel pour cette initiative combien louable de la part du patron de Quartier Latin International qui a choisi d'honorer la presse congolaise à travers la journaliste Magic Wawina. Souhaitons que Dieu donne la volonté, l'amour et les moyens à Koffi OLOMIDE pour achever le processus du mariage et confondre ainsi ses détracteurs
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vendredi 31 octobre 2008

JB Mpiana et Youssou N’dour, une tournée commune en perspective en Europe pour les deux stars !

Le leader de Wenge BCBG séjourne encore en Amérique du Nord où il se produit régulièrement avec succès. Par ailleurs, des échos nous parvenant de cette partie du monde, font état d’une tournée commune en perspective pour JB Mpiana et Youssou N’dour. Le périple de deux stars africaines, a-t-on appris, se déroulera en Europe au mois de décembre prochain.Le chanteur sénégalais à travers cette tournée aura de nouveau l’occasion de prester ensemble sur le même podium avec Papa Chéri comme ce fut le cas lors de son récent périple à Kinshasa au mois de septembre dernier.Le duo Youssou N’dour - JB Mpiana a récolté un grand succès et a laissé une bonne impression auprès du public.Après avoir réussi le featuring avec Koffi Olomide dans la chanson «Festival», tirée de l’album sans nom de ce dernier, la star sénégalaise pourrait tenter une autre expérience avec le leader de Wenge BCBG.Cela n’est donc pas exclu que dans les prochains jours que Youssou N’dour et JB Mpiana puissent enregistrer ensemble une oeuvre discographique. JB Mpiana à montrealPar ailleurs, Papa Cheri continue de séduire ses mélomanes au niveau du Canada. Le week-end dernier, le patron de l’orchestre Wenge BCBG a livré un spectacle dans la ville de Winnipeg.Ce samedi, JB Mpiana se produira pour la deuxième fois dans la ville de Montréal. Comme on peut le constater, le programme de l’artiste musicien JB Mpiana est très chargé. Outre la tournée qu’il désire entamer avec Youssou N’dour, le leader de Wenge BCBG devra honorer son engagement pour le Japon.Car, comme annoncé, à partir du Canada où Papa Chéri séjourne présentement, un producteur japonais était venu solliciter le leader de Wenge BCBG pour aller prester dans le pays du soleil levant.Chose conclue, JB Mpiana amenera donc son groupe au Japon pour une série des productions sans oublier les spectacles de cadres où Papa Chéri est très reclamé ce dernier temps par les fanatiques.Pour l’heure, l’album «Quel est ton problème» se comporte très bien sur le marché en attendant donc le prochain tube de l’auteur de «Zadio Kongolo» intitulé: : «Chemin de fer».

Découvrez les salaires des animateurs télé français !!!

Dans son nouveau numéro, VSD lève le voile sur les salaires touchés par les présentateurs et animateur du petit écran français. VSD explique que ces chiffres sont des estimations basées sur les cachets habituels des animateurs en fonction des chaînes et des horaires de diffusion. Ils ont été vérifiés auprès de plusieurs spécialistes médias et VSD a contacté par téléphone; fax et courriel les animateurs concernés qui n'ont pas commentés ces chiffres à l'exception de Mireille Dumas dont les déclarations ont été prises en compte.Voici les chiffres donnés par VSD en "net"Thierry Ardisson: 20.000 euros / mois ;Laurent Ruquier: 40.000 euros / mois; Benjamin Castaldi:105.000 euros / mois ; Mireille Dumas: 20.000 euros / mois; Nikos Aliagas: 80.000 euros / mois;Jean-Luc Delarue : 40.000 euros / mois;David Pujadas: 12.000 euros / mois; Laurence Ferrari : 70.000 euros / mois; Valérie Damidot : 9.000 euros / mois; Michel Drucker: 38.000 euros / mois; Cauet: 30.000 euros / mois.

waaaouh! décoiffant n'est ce pas ? il faudrait aussi peut-être que dans mon pays il faudrait aussi peut-être que dans mon pays (cameroun) une pareille initiative soit réalisée comme l'avait déjà suggérée le grand Léonard Chatelain...

LES OSCARS DU ZOUGLOU: Le show, ce samedi !!!

L’évènement cristallise les esprits. Il est annoncé comme le spectacle phare de cette fin d’année 2008. Une grande première dans la sphère musicale en Côte d’Ivoire. Les Oscars du zouglou, est le rendez-vous de la célébration des meilleurs talents zouglou. C’est le pari que veulent réussir les promoteurs de cet excitant projet à savoir Boignon Barnabé, Ramzy et Yves Hamilton. Qui entendent, par cette occasion, promouvoir une musique : Le zouglou, longtemps considéré comme l’identité culturelle ivoirienne. Et, vecteur de rassemblement et de communion.Ce rendez-vous tant annoncé, c’est finalement ce samedi 1er novembre 2008 à 20 heures.Au programme de cette soirée féerique, prestations d’artistes zouglou en live avec Yodé et Siro, Les Patrons, Petit Denis, qui vont notamment enflammer le public par un spectacle live. Puis la grande cérémonie de remise des Oscars aux meilleurs artistes zouglou de l’année. A travers cinq prix : du Meilleur zouglou créatif, du Meilleur parolier zouglou, du Meilleur thème, du Meilleur ensemble, et du Meilleur zouglou live.Ainsi que deux prix spéciaux : le prix du groupe le plus représentatif du zouglou, du Meilleur arrangeur zouglou 2008. L’enfant prodige Denco (Petit Denis) a donné le ton de la fiesta. Il promet, lui seul, de rafler l’ensemble des prix. Et annonce par la même occasion son tout dernier spectacle live de l’année. Chaudes empoignades en perspective. La grande explication sera alors sanctionnée par un collège de jury ainsi qu’un vote sur le site web.

Gabon-Musique : Pierre-Claver Akendengue présentait le jeudi 23 octobre «Vérité d’Afrique» son 19ème album en 40 ans de carrière ! waaaouh !!!

Celui dont on peut affirmer aujourd’hui qu’il fait partie des grands maîtres de la musique africaine contemporaine, présentait le jeudi 23 octobre 2008, à quelques jours de ses deux concerts consécutifs au Centre Culturel français (CCF) de Libreville au Gabon, «Vérité d’Afrique», successeur de «Gorée» et 19ème produit du patriarche en 40 ans de carrière.


L’art de la musique, pour lui n’a plus aucun secret et pourtant, Pierre-Claver Akendengue, toujours aussi modeste dans ses propos et discret, s’est présenté, jeudi 23 octobre au Centre culturel français aux alentours de 15h50 de rouge et de noir vêtu, soutenu professionnellement par le nouveau chouchou de la rumba gabonaise, Omar Ben Sala. Les premières paroles du patriarche après les civilités, iront droit au public essentiellement composé d’hommes et de femmes de la presse, auxquels il dira tout en sourire comme toujours : « Cet album, je l’ai hérité de l’Afrique. L’Afrique est un continent considéré comme ne faisant pas partie de l’histoire. C’est un dénie. L’Afrique m’interpelle et je souhaite que les africains se réapproprient leur histoire. Concernant le titre de l’opus et plus précisément, à l’interrogation du pourquoi avoir choisi d’écrire «vérité» au singulier, Pierre-Claver Akendengue répondra que l’Afrique est un continent et non un pays comme certaines personnes en occident semblent le penser. Pour cette raison, les maux qui la rongent, sont le mêmes quel que soit le pays.Ainsi, les pillages, la quête de démocratie, les épidémies, la pauvreté, les génocides, et bien d’autres maux encore, lui ont donné envie de mettre «vérité» au singulier. Selon l’auteur compositeur et interprète « l’artiste doit s’intéresser à toute l’histoire et notamment à celle de son pays. Pour le poète, «faire retentir le silence du prisonnier par son art, éclaire les esprits et sensibilise les cœurs».Omar Ben Sala venu soutenir son aîné et de loin, avec émotion déclarera, du fait de se retrouver aux côtés de ce grand homme de scène et de la profession, son admiration sans borne pour cet aîné, et de loin. Il s’auto proclamera même, plus grand fan de Pierre-Claver Akendengue.Reprenant la parole, l’homme de spectacle confiera au passage à l’assistance qu’il recevra le 06 novembre prochain des mains du président de Côte d’Ivoire, une distinction l’honorant et récompensant l’acteur du développement de la culture de son pays qu’il est. D’autre part, au sujet du contenu de «Vérité d’Afrique», l’opus set composé de 14 titres dont le contenu vous sera très bientôt révélé car, s’exprimant sur la piraterie, le «patriarche» déclarera que tant que rien ne sera fait pour lutter contre et que les droits d’auteurs ne seront pas restitués aux artistes, il faudra être vigilant, sans plus.De fait, la conférence de presse prendra fin aux environs de 17h et l’artiste devra clore celle-ci en insistant sur le fait que «Vérité d’Afrique», c’est tout simplement un regard jeté en arrière ; un regard rétrospectif sur notre propre histoire. Plus de détails sur le contenu de cet opus dans nos prochaines livraisons.

vendredi 24 octobre 2008

Fally Ipupa poursuit l’enregistrement de son nouvel album à Paris !!!

Fally Ipupa "Dicap la Merveille"
Déjà, au niveau de Paris, il réa­lise une série de clips qui vont accompagner “ Arsenal de belles mélodies ”.
Fally Ipupa est déterminé à rééditer les exploits de l’album “Droit chemin ”, le premier fleu­ron artistique de sa carrière musi­cale. C’est ainsi qu’il s’emploie, d’arrache-pied, à mettre au point un disque de qualité. Autant sur le plan de la thématique que sur le volet artisti­que.Aux derniè­res nouvelles, les dernières re­touches artisti­ques entamées sont fort avan­cées. Annoncée pour le mois de novembre prochain, la sortie de l’album “Ar­senal de belles mélodies ” est repoussée à 2009.Parce que, semble-t-il, Fally lpupa devrait faire intervenir un groupe de musiciens, en rempla­cement de ses musiciens qui n’ont pas pu effectuer le déplacement de Paris.N’empêche que l’artiste étant un doué, il met les bouchées dou­bles pour une réussite totale. Déjà, au niveau de Paris, il réa­lise une série de clips qui vont accompagner “ Arsenal de belles mélodies ”.Tout ceci, grâce à la baguette magique du producteur David Monsoh, celui-là même qui a assuré la production intégrale de “ Droit chemin ” et qui a propulsé Fally au devant des scène inter­nationales.Il y a lieu de croire en cette complicité entre Fally lpupa et ce producteur - que va accoucher une oeuvre de haute facture, a l’ins­tar de la première réalisation ar­tistique. Toutefois, de ce que l’on sache, “ Di Caprio ” a répertorié une dizaine de chansons douce­reuses parmi lesquelles “ Cade­nas ”.On se rappellera que ce tube aura séduit les cœurs tendres à Kinshasa, tout comme à Paris et d’autres villes du monde. Selon un proche de l’ar­tiste, l’opus en gestation viendra, dès sa mise en vente, détrôner tou­tes oeuvres sur le marché. Ceci, en raison de la thématique qui constitue les mélopées qu’a com­posées Fally Ipupa.En dépit de cette conviction farouche qui anime l’entourage de la jeune star congolaise, les mé­lomanes attendent savourer ce deuxième opus de Fally Ipupa, lequel va déterminer la suite de sa carrière musicale
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vendredi 19 septembre 2008

Amadou & Mariam de retour avec un album le 17 novembre !!!


C’est reparti pour un tour ! Le couple le plus célèbre de la musique malienne revient sur le marché du disque en sortant un nouvel opus en fin d’année. La date du 17 Novembre 2008 a été retenue pour la sortie du nouvel album, pour lequel de nombreuses collaborations de choix ont été annoncées.

Amadou et Mariam seront à nouveau dans la place dans environ deux mois. Le duo s'apprête à refaire surface avec un produit déjà annoncé grandiose par l’entourage du couple. Outre le talent déjà reconnu du couple malien, il faudra également s’attendre à apprécier de prestigieux featurings en tête desquels des collaborations avec l’ivoirien Tiken Jah Fakoly, le nigérian Keziah Jones ou encore le français Matthieu Chédid, alias M.

Le morceau «Sabali», produit par Damon Albarn, figurera également sur la playlist. Cet opus très attendu sera le successeur de «Dimanche à Bamako», produit vendu à plus de 500 000 exemplaires dans le monde, dont 300 000 en France.

Concernant l’actualité des artistes, Amadou et Mariam se produiront les 22 et 23 Octobre prochains du côté de Londres en Grande-Bretagne, à l'initiative de Damon Albarn, pour une édition spéciale d’«Africa Express», un événement musical regroupant des musiques occidentales et africaines.

Concert : Werrason au Zénith de Paris !!!

Habitué de grands événements, le leader de Wenge Musica MM est conscient que pour réussir un beau spectacle il ne faut rien laisser au hasard. Depuis plusieurs semaines, il est très occupé avec son groupe et ses danseuses dans leur fief de Kinshasa.

Plus de six ans après une double production aux affluences record dans cette salle parisienne, le chanteur Werrason revient au Zénith de Paris pour un nouveau spectacle programmé pour le 8 novembre 2008 à partir de 23 heures. Ce grand rendez-vous musical sera notamment l’occasion, pour Werrason, de présenter officiellement le dernier album de son groupe “ Temps présent, Mayi ya Sika ”(1) réalisé avec une équipe largement renouvelée.

Ce concert fera sans doute franchir un pallier aux nouvelles recrues, que Werrason a certes déjà présentées au public lors d’une précédente tournée européenne, qui les avait conduits notamment en Espagne et en Belgique. À Paris, le 8 novembre 2008, c’est un music hall de 5 830 places assises que Werrason et son groupe devront remplir et, surtout, offrir à leurs occupants un spectacle à la hauteur de leur popularité. À noter que Zénith est la deuxième salle de la capitale française en termes de capacité après Bercy (17 000 places assises).

Habitué des grands événements, le leader de Wenge Musica MM est conscient que pour réussir un beau spectacle il ne faut rien laisser au hasard. C’est ainsi que, depuis plusieurs semaines, il est très occupé avec son groupe et ses danseuses dans leur fief de Kinshasa La Zamba Playa. Ils travaillent sans relâche sur le répertoire et préparent des chorégraphies qu’ils vont présenter lors de ce spectacle tant attendu par le public.

De son vrai nom Noel Ngiama Makanda, Werrason est l’un des artistes les plus populaires et les plus adulés de son pays. D’apparence timide et très humble, c’est une véritable bête de scène, un véritable showman dont chaque apparition déchaîne des foules. Notamment à Kinshasa, la capitale de la RDC, son pays, où il compte de milliers de fans parmi les jeunes et les enfants de rue auxquels sa fondation vient en aide. Surnommés “ Majorité plurielle ”, ces jeunes le lui rendent plutôt bien comme l’a constaté notre confrère David Cadasse d’Afrik.com : “ Il draine à chaque fois derrière lui de véritables marées humaines de fans et de badauds. Une foule parfois difficile à gérer. Comme à l’occasion de son dernier concert au Stade des Martyrs ou les fans ont réussi le tour de force de défoncer l’impressionnant portail du stade ”.

FERRE GOLA: “Bientôt, le feu à Abidjan” !!!

Les grands adeptes du ndombolo made in Kin’ connaissent bien Ferré Gola chair de poule. Celui qui se réclame être le plus fort de Kinshasa, après la génération des Koffi, sera à Abidjan pour un concert live inédit le 9 novembre prochain.
Ferré a commencé avec Wengé Maison Mère. Le public le découvre à travers son intervention dans l’album Force d’intervention rapide, premier tube de Wengé MM. Sa première véritable chanson sera Vita imana de l’album solola bien. Puis, Victime d’amour avec l’album A la queue leu leu.

Après l’orchestre cher au roi de la forêt, Werrasson, Ferré Chair de poule réalise d’autres belles chansons avec un autre groupe baptisé le Marquis de Maison mère. Amour intérêt et 100 kg resteront les témoins de son passage dans l’orchestre Marquis Maison mère.
Il fera aussi l’expérience du Quartier Latin du grand Mopao. Notamment, il signe la chanson insecticide tirée de l’album Danger de mort.
Depuis deux ans, il évolue en solo. Et il a réussi à s’imposer au Congo et dans la région de l’Afrique centrale comme l’un des meilleurs artistes de la nouvelle génération. Il donne de nombreux concerts partout. Et le rendez-vous d’Abidjan, l’excite déjà ! Entretien téléphonique.

Tu es annoncé à Abidjan ?
- Ça, c’est une grande date. C’est pour moi un très grand rendez-vous. Tous mes musiciens et moi-même sommes très chauds et prêts pour ce grand show à Abidjan. Je sais que les gens là-bas aiment beaucoup le show. Quand je dis le show, je parle de vrais spectacles sur scène. Nous allons leur montrer ce qu’est un vrai show venant de Kin. Je suis donc impatient de retrouver les mélomanes à Abidjan et de vivre avec eux de grands moments d’un spectacle. Ça sera bientôt le feu à Abidjan.

Ta dernière visite à Abidjan remonte à quand ?
- Ça fait quand même longtemps que je ne suis pas arrivé à Abidjan. Mon dernier voyage, était avec Wengé Musica Maison mère, il y a quelques années.

Es-tu au fait de l’actualité musicale en Côte d’Ivoire ?
- Je sais qu’il y a le coupé-décalé là-bas. Je sais aussi que mes collègues sont partis à Abidjan. Mais moi, je viens pour renouer et même conquérir le terrain…

Quand tu parles des autres, à qui fais-tu allusion ?
- Par exemple notre “vié” Koffi. Mais les autres, je ne sais pas.

Tu refuses de prononcer le nom de Fally Ipupa !
- Je ne veux pas faire de polémique. Mais quand tu vas sortir de mon concert, tu comprendras ce que c’est que le phénomène Ferré.

Te considères-tu comme le n° 1 actuellement au Congo ?
- Ce n’est pas moi qui le dis. Mais actuellement, il n’y a personne qui fait mieux que moi au Congo. Ça, je peux le dire.

.• Ici, à Abidjan, Olomidé et Fally ont miné le terrain !
- Ça va être déminé sans problème. Ça, c’est clair. C’est normal qu’ils soient aimés. Ils ont été les premiers à se faire connaître ici. Mais quand Abidjan va vivre mon spectacle, les mélomanes comprendront le phénomène Ferré Chair de poule.

Tu viendras avec combien de musiciens ?
- 17 musiciens.

D’où est-ce que tu tiens le surnom Chair de poule ?
- Je ne me suis pas donné ce surnom délibérément. Ce sont les mélomanes qui ont fini par me le coller. Parce que, disent-ils, lorsque je chante, ils ont des frissons.

Que peux-tu dire aux mélomanes ivoiriens ?
- Je vais venir chanter pour eux. Et montrer que les artistes congolais aiment beaucoup la Côte d’Ivoire. Ils seront tellement contents qu’ils vont me réclamer.

Dis-moi, c’est par rivalité que tu n’oses pas citer le nom de Fally. Tu préfères dire mon collègue !
- Non. Pas de rivalité. On ne fait pas le même style de musique. On n’a pas la même voix. Moi, je ne suis pas dans le style Quartier latin. Mon style à moi, c’est le style Ferré. Tout simplement.

Tu as quand même aussi fait le Quartier latin !
- Oui. Mais je ne suis pas le style Quartier latin. J’ai mon style à moi, qui est Férré. Voilà. Et tu verras.

Je sais qu’au Congo, il y a des écoles. Alors toi, tu te sens proche de quelle école ?
- Il faut que les choses soient claires. En dehors des vieux comme Koffi, Wemba et autres, il y a une jeune génération après eux. Et il y a beaucoup de chanteurs de ma génération qui se sont inspirés des écoles dont ils sortent. Mais moi, je suis à part. J’ai commencé à chanter avant tous ceux que vous connaissez qui sont de ma génération.

Il y a, par exemple, Manda !
- Oui. C’est sûr. Il y a Manda, il y a aussi Badia. Ceux-là sont venus avant moi. Mais après eux, c’est moi. Je le répète, je suis le premier. C’est moi leur idole. Pratiquement les jeunes artistes congolais de la nouvelle génération se sont inspirés de ma musique. Je suis leur idole. Et ça, ils ne pourront pas le démentir. Comme je l’ai dit, les Werra, Koffi…sont les “viés”. Ce n’est pas d’eux qu’il s’agit.

Tu veux parler des Fally… alors !
- Je ne veux pas citer de nom pour éviter les polémiques inutiles. Mais la réalité est la réalité.

C’est qui ton idole à toi ?
- Pépé Kallé. C’est lui qui m’a donné l’envie de faire la musique, de faire comme lui. Il avait une voix extraordinaire et une façon de chanter que je trouve extraordinaire aussi.

Tes albums ?
- Il y a Sens interdit qui est sur le marché depuis deux ans. Un nouvel album intitulé Qui est derrière sort en Avril 2009.

extrait du magazine top visages

vendredi 12 septembre 2008

Wazekwa–Koffi : l’album du prêtre relance la polémique !!!

Kwamy et Franco dont la rivalité a débordé du cadre mu­sical se trouvent réincarnés par Félix Wazekwa et Koffi Olomide qui entretiennent une polémique lasse et inutile.

Depuis la sortie du dernier opus de Koffi Olomide, le débat dans le milieu intéressé tourne autour de sa valeur artisti­que en comparaison à d’autres albums l’ayant précédé sur le marché du disque. “ L’album du prêtre ”ainsi qu’on l’identifie a la particularité de mettre tout le monde d’accord dès la première audition, preuve que l’artiste s’est surpassé pour offrir à ses nombreux fans un travail de qualité.

D’une manière générale, l’al­bum convainc de part sa concep­tion et surtout la diversité des thè­mes développés abordant tous les aspects de la vie.

Déjà le featuring avec le Grand Youssou N’dour le fait démarquer d’une ri­tuelle purement locale. Avec Lokwa Kanza, c’est la décou­verte de nouvelles sensations qui pousse le génie musical de l’ar­tiste au faite de l’excellence.

Koffi s’inspire également des travers de sa société empestée par l’avalanche des “shégués ” qu’il invite à retrouver le toit paren­tal.

Là où les mélomanes atten­daient voir les transfuges de Cultur’A s’exprimer profondément, Koffi ne leur concède que des cour­tes vocalises jetant son dévolue sur une chanteuse sortie des nues.

Au moment où les méloma­nes dégustent les rumbas qui constituent le point fort de cet al­bum, Félix Wazekwa se cabre toujours dans ses génériques to­nitruants et endiablés en annon­çant “ La Chèvre de Monsieur Séguin ”.

Le leader de Cultur’A annonce les couleurs dans une production à la Fikin où les pas de “La Chèvre de Monsieur Séguin “sont exhibés au public.

Quelle est l’alternative que brandit Félix Wazekwa pour contrer le rouleau compresseur du Tshatho nouvelle formule ? Une question qui ta­raude l’esprit de nombreux mélo­manes face à l’obstination de Wazekwa à persister dans des génériques devenus lassants et ennuyeux.

Sur ce registre, Koffi Olomide qui a déjà jeté l’éponge, reconnaît ses limites et ne pense pas également Félix Wazekwa qui en a fait une spécialité.

“Que demande le peuple ”qui doit son succès au seul générique s’op­pose nettement à “ l’album du prêtre ” piloté de fond en com­ble par des rumbas langoureux. Deux styles d’approche musi­cale qui se repoussent tout en recoupant sur la polémique à laquelle se livrent les deux artis­tes se renvoyant des boutades.

L’escalade verbale qui ca­ractérise les deux albums sur fond d’injures à peine voilées est symptomatique d’une inimitié exacerbée par des fans surex­cités. Kwamy et Franco dont la rivalité a débordé du cadre mu­sical se trouvent réincarnés par Félix Wazekwa et Koffi Olomide qui entretiennent une polémique lasse et inutile.

Werrason et JB Mpiana semblent reprendre leurs brassards !!!

Il faudrait attendre l’arri­vée de Fally Ipupa Di Capprio et Ferre Gola pour que les Kinois retrouvent un autre menu pour la polémique musicale. Ces trois dernières an­nées n’ont pas été faciles à di­gérer pour JB Mpiana et Werrason. Leur succès s’éteignait de plus en plus pendant que les Ferre Gola dit Shetani et Fally Ipupa Di Caprio prenaient le dessus. Maintenant que ce couple “ F & F ” est en pré­paration pour un prochain lancement de leurs opus, les deux vieux loups en profitent pour re­prendre du terrain.

JB et Werra ont fait leur temps

A vrai dire, depuis les années 1998, juste après la dis­location du groupe Wenge Musica, le brassard de capitaine de la musique à Kinshasa, était de droit tenu par les artis­tes musiciens Jean Bedel Mpiana Tshituka dit “ Papa chéri ” et son ancien colistier Ngiama Makanda Werrason, “ Roi de la forêt ”.

Ces deux poids lourds du clan Wenge, accompagnés de leurs poulains, ont su s’im­poser en maîtres du jeu au fir­mament de la musique congo­laise nonobstant une résistance remarquée de deux de leurs aînés de la 3ème génération dont Papa Wemba..

L’on se rappellera que, seul Félix Wazekwa “ Mokuwa Bongo ” aujourd’hui “ Monstre d’amour ” qui, par une forte vio­lence de sa “ signature ”, a brisé ce carré magique qui ne savait laisser même pas une coudée d’espoir au succès des autres artistes musiciens. Car en de­hors de ce carré magique, il était presque impossible de briller ou de convaincre les Kinois, malgré le travail accompli.

A un moment donné, un groupe musical composé de jeunes talents et chapeauté par le mécène Sony Ecce Uomo, a aussi trouvé place dans la danse des Congolais. Dès lors, ce groupe n’a pas fait long feu pour disparaître comme par enchan­tement une année plus tard.

Malgré quelques petites bousculades connues de part et d’autre, Werrason et JB Mpiana n’ont jamais cédé et ont tou­jours maintenu leur cap. Avec leurs orchestres, respective­ment Wenge Musica Maison Mère et Wenge Bcbg, les deux leaders de la 4ème génération avaient réussi à s’imposer sur la scène de la musique congo­laise.

C’est-à-dire qu’en moins de temps d’expérience, JB Mpiana et Werrason ont franchi des salles mythiques et des stades d’outre Atlantique, ils sont parvenus à arracher des dis­ques d’or, des prix ainsi que des trophées par-ci par-là sans compter leur fortune. Ce qui n’a pas été le cas pour l’ensemble de leurs aînés.

La domination de JB et Werra a fait état d’un feu infer­nal dans l’espace musical con­golais. C’est une domination qui a bouleversé, modifié et trans­formé les données. Ils étaient confondus, ceux qui croyaient que la dislocation de Wenge cor­respondrait à une fin de carrière des “ Anges adorables ” qui, à l’époque faisaient bouger la ca­pitale.

Du succès transféré à Fally et Ferre

Pas de succès sans successeur, dit-on “ Werrason et Jb Mpiana, les deux gaillards ont depuis un certain temps, fait montre d’une certaine déca­dence à l’écoute musicale du Kinois. Werrason au moins se maintient malgré l’extraction pénible de sa première ossature qui forma le groupe “ Marquis de Maison Mère ”. Mais Jb Mpiana, lui, ne fait qu’encaisser des coups de la nouvelle géné­ration. Son succès n’ayant plus la même ampleur qu’à l’époque de “ T.H ”, Mukulu ne résiste que par son expérience.

Il faudrait attendre l’arri­vée de Fally Ipupa Di Capprio et Ferre Gola pour que les Kinois retrouvent un autre menu pour la polémique musicale. Tout est parti d’un album, “ Droit chemin ” de Fally Ipupa. Cet opus était très attendu par le public et à qui, plus d’un ne donnait plus de chance. Surprenant.

Di Caprio s’empara petit à petit de la confiance des mélomanes qui se sont laissés facilement emporter par le tas de la rumba que comportait cette oeuvre.

Dans cet album “ Droit chemin ”, Fally Ipupa s’est fait distinguer, et il a donné le goût non seulement par ses chansons ou sa danse, mais encore par son habillement, ses ges­tes, sa démarche, bref, sa ma­nière de faire. C’est un opus qui a expulsé son auteur et le place présentement moins au rang des favoris qu’au niveau des grands. Fally a révolté la 5ème génération de la musique con­golaise. D’ailleurs, il a déjà af­fronté la salle de l’Olympia de Paris. Voilà pourquoi la colère de son prétendant concurrent a été suscitée.

Ne voulant plus continuer sa carrière auprès de l’ancien patron de Fally, Ferre Gola s’est vidé de son complexe pour bousculer l’album “ Droit chemin ” qui avait déjà plus d’une année de carton, avec son premier opus “ Sens interdit ”. Pas mal, l’œuvre de Shetani a pu aussi convaincre les fanatiques en son temps.

Ce qui lui a permis d’avoir un orchestre qui l’accom­pagne dans diverses produc­tions à l’intérieur comme à l’ex­térieur du pays.

C’est un album qui cartonne sur tout Kinshasa surtout avec son générique qui met tout le monde d’accord. Les mélomanes, sont emballés au goût des “ Mayi ya sika ”, nouvelle ossature de Wenge Musica Maison Mère.

Opus “ Sens interdit ”. Pas mal, l’œuvre de Shetani a pu aussi convaincre les fanatiques à son temps. Ce qui lui a permis d’avoir un orchestre qui l’accom­pagne dans diverses produc­tions à l’intérieur comme à l’ex­térieur du pays.

“ Droit chemin ” et “ Sens interdit ” se sont bien compor­tés au point où, comme d’aucuns n’ignorent, personne ne s’inquiétait de l’absorption de JB Mpiana et Werrason. Voire à l’heure qu’il est, les deux albums n’ont pas encore quitté le hit parade de Kinshasa. Ainsi, Fally et Ferre donnaient l’impression de remplacer Werra et JB. Heu­reusement pour les deux leaders de la 5ème génération, le duo “ F & F ” s’est retiré du ring en préparation de leurs nouveaux albums.

JB Mpiana et Werrason en profitent

Le tout récent opus de Werrason Ya Ngiama intitulé “Temps présent, Mayi ya sika ” se porte très bien sur le mar­ché du disque malgré qu’au départ il y avait un peu d’ambiguïté.

C’est un album qui cartonne sur tout Kinshasa surtout avec son générique qui met tout le monde d’accord. Les mélomanes, sont emballés au goût des “ Mayi ya sika ”, nouvelle ossature de Wenge Musica Maison Mère.

“ Libérer ”, est un titre tiré du maxi single “ Quel est ton problème ? ” de l’orchestre Wenge Bcbg, le groupe cher au Souverain 1er, JB Mpiana. Cette chanson de Sunda Bass (gui­tariste bassiste du groupe Wenge Bcbg), casse la baraque aujourd’hui et replace Mukulu dans son ancienne position. C’est une rumba de haute fac­ture au rythme les Anges adorables où la libération d’Ingrid Betancourt y a été prédite.

Cela étant, si JB Mpiana et Werrason reprennent réelle­ment leur brassard, attendons la réapparition de Ferre Gola et Fally Ipupa. L’avenir nous dira quoi.

Enfin Werrason prend le dessus !!!

« Temps présents, mayi ya sika », c’est le titre du dernier album réalisé par l’orchestre Wenge Musica Maison Mère que chapeaute de plein pouvoir, l’artiste musicien Noël Ngiama Makanda Werrason. Cet opus cartonne pas mal dans la ville de Kinshasa plus que tous les autres albums qui sont aujourd’hui sur les bacs. C’est ce qui permet au groupe Wenge MMM de coloniser musicalement la ville à travers ses pas de danse et ses chansons. Partout l’on passe, il n’ y a que du “ Temps présent ” qui s’écoute dans tous les coins. Ainsi, Werrason a conquis sa position d’antan.

Au départ, ce dernier disque de Werrason avec ses poulains (les mayi ya sika) avait connu beaucoup de difficultés. Différemment du temps passé, l’album “ Temps présent ” a pris du temps pour être assimilé par les mélomanes kinois.

D’ailleurs, cela a suscité plusieurs spéculations autour de ce comportement inhabituel pour les œuvres de Werra qui donnait déjà l’impression d’échouer. Sur le marché du disque, l’œuvre “ Temps présent ” est venu trouver le single “ Quel est ton problème ? ” de JB Mpiana et sa formation musicale, qui trônait l’espace rumba à côté de l’album “ Riposte ” du prince de la rumba congolaise. Pendant ce temps, l’animation était primée par l’album “ Que demande le peuple ? ” de Félix Wazekwa Mokuwa bongo dit monstre d’amour.

Mais les “ mayi ya sika ” de Wenge Bcbg ont bousculé tout d’abord l’espace de l’animation par leur générique “ Temps présent ” qui a ravi simultanément le brassard à “ Moto ya liboma aliaka na fulu ”. En second lieu, cet album plein de nouvelles vagues, vient de récupérer la rumba qui était dominé récemment par les tubes “ libérer ” et “ Z.K ” tirées du dernier single de l’orchestre Wenge Bcbg du “ souverain 1er ” de Jb Mpiana.

Loin de toute polémique, l’artiste Werrason dit “ le roi de la forêt ” ou encore “ Igwé ”, reste depuis près d’une décennie, l’artiste le plus populaire de la Rd Congo.

Les faits ont été déjà démontrés de toute part, les kinois en savent quelque chose. Dès le lendemain de la dislocation du groupe Wenge Musica (formule originale), Werrason et JB Mpiana sont les deux qui se sont automatiquement révélés leaders des deux fractions de ce groupe. Ils ont fait tapage dans leur rivalité. Ils sont restés pendant tout ce temps les tenants du succès de la musique congolaise à Kinshasa. Malgré le grand poids de Jb Mpiana qui était le seul à le bousculer, “ le roi de la forêt ” s’est toujours maintenu au-dessus de la mêlée. A un certain temps, les piliers de Wenge MMM ont tourné le dos à leur formateur. Mais, “ ya ngiama ” n’a pas baissé les bras. Il a reformulé son groupe avec des jeunes talents. Voilà que présentement, Werrason fait succès plus que tout le monde à Kinshasa. Jusqu’ici, aucun album ne résiste. Werra continue à frapper…

« Qui est derrière toi » en 2009 : « Ferre Gola esquive un accrochage artistique avec Fally Ipupa !!!

Ferre et Fally ont su se démarquer de Werrason et JB Mpiana dans leur manière de polémiquer. Pas de dérapage, pas d’injures, pas de propos malveillants, une rivalité presque pieuse.

Le second travail de Ferre Gola dit Shetani, intitulé « Qui est derrière toi ? », sera sur les bacs l’année prochaine, selon des sources fiables. Cet album tant attendu par le public kinois et brazzavillois sera pour certains mélomanes, une occasion de confirmer effectivement la taille artistique de Hervé Ferré qui a été démontrée dans son premier album solo. Parce que, seul l’opus « Sens interdit » ne suffit pas pour convaincre complètement les professionnels de la musique congolaise. ...

vendredi 15 août 2008

Nguéa Laroute, griotte de Samuel Eto'o ?!

Son nouvel album, "Confort sur canapé" fait le culte du footballeur camerounais.

Vous avez aimé la chanson "Eto'o" dans "Hot Mutumbu", l'avant-dernier album de Nguéa Laroute ? Eh bien, l'artiste vient de resservir le même titre à ses fans dans "Confort sur canapé", le disque qu'elle a mis sur le marché il y a quelques semaines seulement. En dehors du titre et du rythme, la nouvelle création de "Mama Nguéa" se démarque cependant du Tome I par le texte. Comme le précédent, le texte du nouveau "Eto'o" est dithyrambique à souhait. Nguéa Laroute y invite notamment tous les Camerounais à se lever et à danser avec le "Pichichi". "Laissons l'hypocrisie et écartons toute comparaison, le moment est venu, nous devons tous collaborer. Mettons-nous ensemble, soutenons notre Eto'o, soutenons notre champion car l'union fait la force. C'est notre héros, il a prouvé qu'il est le maître du Ndamba", louange-t-elle.

Contrairement au précédent titre, celui contenu dans "Confort sur canapé" semble moins entraînant. Les programmations réalisées par le désormais incontournable Aubin Sandjo, constituant l'un des rares attraits de l'orchestration. Par contre, dans le titre "Na ma timba", Nguéa Laroute confirme tout le bien qu'on pense d'elle en matière de composition musicale. Le texte est particulièrement adulé par les femmes. Et pour cause ! Comme à son habitude, l'artiste a sorti un canon pour tirer à boulets rouges sur les hommes. Nguéa Laroute chante, en effet, la déception d'une femme mal aimée. Celle-là qui, dit-elle, subit les pires atrocités dans son ménage, et qui se décide finalement de quitter son mari. "Si le mariage me refuse, la maison de papa ne me refusera pas. Signe-moi un bon de sortie et je te laisserai tranquille. Les hommes ne savent pas ce que c'est que l'amour. Je rentre, je suis fatiguée...", pleurniche-t-elle.

Amour

La chanson est particulièrement dansante. Manifestement, le résultat d'un travail d'orfèvre mené par un groupe de musiciens dans lequel, en dehors de Aubin Sandjo aux claviers, on retrouve notamment Eric Sefu et Mouasso Elamè (guitares) et Arthur Manga (Bass). Le titre "Konaté", à plusieurs égards, est d'ailleurs de la même veine. De par le thème, les misères des femmes dans leurs ménages ; mais aussi le rythme Makossa et les mêmes finesses et la précision dans l'orchestration. Ici, Nguéa Laroute raconte l'histoire d'un mari qui était si attentionné envers son épouse, mais qui a fini par tomber amoureux de la cousine de cette dernière. Au point de ne plus passer ses nuits à la maison et, surtout, de dépenser tout son argent pour sa nouvelle conquête, qui le quittera pourtant une fois ruiné. "Il a pris les mapan !", s'exclame-t-elle. Et d'ajouter, "Tout ce qui brille n'est pas or. Mon cher ami, je t'ai aimé, pourquoi as-tu cru à la beauté du diable ? J'ai voulu te récupérer, mais il est trop tard. Je ne saurai subir les conséquences de ton égarement. L'homme n'est jamais satisfait...", conclut l'artiste.

De bout en bout de "Confort sur canapé", Nguéa Laroute est, en effet, restée fidèle à sa logique. Elle plaint le sort des femmes, et ne ménage aucune avanie pour qualifier les hommes. L'une des clés de son succès, disent certains fans. D'autres admirateurs de l'artiste, par contre, soutiennent que la qualité des slows composés par Nguéa Laroute est l'un des déclencheurs de sa réussite dans la musique. La preuve, elle est de retour avec deux titres hautement langoureux : "Taille crayon" et "Chanson des mariés". Toutefois, la plus grosse déception de cette nouvelle réalisation de Nguéa Laroute, semble être le titre "Jps". En fait, il s'agit d'une chanson écrite par un certain Daniel Jangwa Bille, à la gloire du producteur Jean Pierre Sah. Dans le fond, Nguéa Laroute y décrie les médisances. Mais, le culte de la personne, qui y transparaît de façon assez flagrante, frise un peu la vulgarité. N'empêche, l'essentiel des treize titres de l'album "Confort sur canapé" valent le détour. Une trouvaille de plus que les mélomanes devraient vite s'approprier.

Le Quotidien Mutations

RDC/Musique : Le 22 Juillet dernier, sortait officiellement le nouvel opus de Koffi Olomide !!!

Star incontestée de la musique congolaise version Rumba moderne depuis plus de vingt ans, Koffi Olomide, désormais Barack Obama, a mis dans les bacs le 22 Juillet dernier, son nouvel opus : l’album n’a pas de titre. Comme pour toujours marquer son originalité, le Grand Mopao, n’a pas donné d’intitulé à son nouveau produit dont la sortie avait été programmée au départ pour le 14 Février.

Le sort en aura décidé autrement. Aujourd’hui, le produit est bien là et, il promet de faire parler autant de tapage que les précédents avec les collaborations de Youssou N'Dour, Lokua Kanza ou une jeune chanteuse, Sindy, une ancienne du groupe quartier Latin. Selon Koffo Olomide : «Elle a fait, selon l'artiste, un travail remarquable. Sa présence dans l'album est très frappante. Elle a chanté merveilleusement dans au moins neuf chansons».

Ce produit contient 16 titres et deux génériques, notamment : «BB goût», «Diabolos», «Etshubu», «Salopette», «Libido», «Lo lo lo», «Bla bla bla», «Festival», «Clé boa», «Sixième chantier», «Ikia», «L'amour n'existe pas», «Plat favori», «Kata Gourouma», «Ninelle» et «Grand prêtre mère».



Le quadra Koraman, est de retour ! «Monde Arabe» a désormais son successeur

Merci Patrick saint eloi !!!

Le concert hommage à Patrick Saint-Eloi a attiré plus de 20000 personnes mercredi soir sur le site de Damencourt au Moule. De nombreux artistes ont répondu à l'invitation du Conseil régional. « Un Eloi d'Or » a également été remis à PSE, pour ses 25 ans de carrière.


« Sété on jou ki té two bèl »… Les milliers de spectateurs présents hier soir ne regrettent en rien les heures d'embouteillage nécessaires pour arriver au spot. Car dès les premières notes, aux alentours de 20h30, tout était oublié.

Daly, Tanya Saint-Val ou encore Fred Deshaies ont entonné des chansons du crooner guadeloupéen. Des performances saluées comme il se doit par le public. « Patrick, ou sé fos a péyi la » a chanté Admiral T.

La pluie s'est elle aussi invitée à la fête durant de longues minutes. Pas suffisant pour faire fuir les amoureux de zouk. A 23 heures, le moment tant attendu est arrivé. L'arrivée de la « Star » du jour a été annoncée par des feux d'artifice.

Patrick Saint-Eloi a une nouvelle fois démontré qu'il était un homme de scène, en communion avec son public. « Je vous aime » a t-il déclaré ému.

Le président du conseil régional a également remis à l'artiste un « Eloi d'Or », le premier d'une longue série : « Nous avons voulu rendre hommage au talent de l'homme, à sa carrière et à son dévouement au service du pays » a souligné Victorin Lurel.

Pour les prochaines éditions, un jury devrait être mis en place par la collectivité. Tous les secteurs seront ainsi récompensés : des écrivains, des peintres ou des cuisiniers. « Nous voulons mettre la culture aux postes de commande » a ajouté Victorin Lurel.

Seul bémol, à cette soirée, les milliers de personnes qui n'ont pu accéder au site en raison des normes de sécurité. Certains fans ont du rebrousser chemin. Selon les services de gendarmerie ce ne sont pas moins de 40 000 personnes, au total, qui avaient fait le déplacement pour l'occasion.

A 1 heure du matin, le concert s'achève sous des tonnerres d'applaudissements... « Merci à vous d'être venus ce soir. Et n'écoutez pas ces rumeurs qui peinent beaucoup ma famille. Comme vous le voyez je suis bien en vie..» a conclut Patrick Saint-Eloi.

Après Akon, un autre jeune sénégalais, Boy Jules fait honneur au senegal!!

Après Alioune Badara Thiam dit Akon qui a réussi à conquérir le cœur des Américains, c'est autour de Souleymane Guissé, connu sous le nom de Boy Jules qui vient à son tour de faire montre de son savoir faire musical au pays de l'oncle Sam. De passage dans son pays natal, Boy Jules qui a plein d'ambitions entend surprendre les Sénégalais à travers la sortie prochaine de sa première production, « Surprise ».

De l'autre cote de l'atlantique, il est une star incontestable et incontestée, comme son autre compatriote Alioune Badara Thiam dit Akon. En effet, Souleymane Guissé, pour ne pas le nommer, même s'il n'est pas un illustre inconnu dans son pays natal, est loin de connaître la popularité qu'il a aux Etats-Unis ou il a fini de se faire une place de choix dans le mouvement hip hop.

En atteste le duo qu'il a fait avec le célèbre 50 Cent sanctionné par un disque d'or, en hommage au jeune guinéen, Amadou Diallo (tué par la police américaine). Ainsi, ne voulant pas soustraire son pays, dans sa propension artistique, Boy Jules entend réserver une surprise à ses compatriotes dans sa toute première production qui sortira en décembre prochain, sous les jougs de son label « B-Label ».

« Je suis bien connu aux Usa pour avoir réussi un duo formidable avec 50 Cent qui est mondialement connu », dit Boy Jules qui est en plein dans les dernières retouches de son prochain Cd solo intitulé « Surprise ». Surprise en ce sens qu'il regorge de plusieurs surprises allant de la très probable élection du candidat noir, Barack Obama à la maison blanche, en passant la conquête de l'Amérique par un jeune prodige d'origine sénégalaise.

Boy Jules qui a capitalisé plusieurs featuring dont les plus célèbres reste ceux réalisés avec 50 Cent et Mokobé, reste ouvert pour un éventuel duo avec les chanteurs sénégalais. Car, explique-t-il, « je ne saurais refuser un duo avec un sénégalais au moment où je le fais avec des américains et des maliens ».

Narrant ses autres faits d'armes dans le mouvement hip hop américain, Souleymane Guissé s'est plu à rappeler, non sans fierté, sa sélection dans le « « The Mixtape Finals ». Boy Jules a, également, sorti un nouveau single en duo avec le Rappeur Makobé.

Ce single tiré de son prochain album et qui sortira en Décembre sur la scène Internationale dénonce la ségrégation raciale qui existe encore aux Etats-Unis, malgré la renaissance de l'espoir avec la candidature à la Maison Blanche du sénateur noir Obama. Pour Boy Jules, le triomphe du rêve des noirs américains est possible.

Angélique Kidjo, Commandeur de l'Ordre national du mérite du Bénin !!!

La vedette béninoise, Angélique Kidjo, a été élevée samedi 02 août à Parakou au grade de commandeur de l'ordre national de mérite du Bénin. C'était à l'occasion des festivités du 48e anniversaire de l'accession du Bénin à l'indépendance.

C'est Parakou, la ville qui porte le nom du premier album d'Angélique Kidjo, que les autorités du Bénin ont choisi de rendre hommage à la star béninoise de la musique internationale. Pour le ministre béninois de la Culture, de l'Artisanat et du Tourisme, Soumanou Toléba «Angélique Kidjo, symbolise un monument de la culture béninoise. Une vedette de dimension internationale qui fait la fierté du Bénin, non seulement en Afrique mais dans le monde entier». C'est donc pour lui témoigner la reconnaissance de la nation béninoise toute entière que le président de la république, a tenu à l'élever dans l'ordre national de mérite du Bénin, au grade de Commandeur. La cérémonie a été l'occasion pour la vedette béninoise de proclamer son attachement non seulement à son pays, mais aussi au continent africain et à sa culture. «Je suis fière, non seulement d'être une Béninoise, mais aussi d'avoir porté la culture du Bénin dans le monde entier. Cette culture nourrit aujourd'hui, la musique des Caraïbes, des Antilles, du Cuba et de plusieurs autres Européens et Asiatiques », a-t-elle affirmé. Outre sa fierté d'être béninoise, Angélique Kidjo, prône pour la conservation des acquis du processus démocratique en cours au Bénin, depuis l'historique conférence des forces vives de la Nation de février 1990. Un plaidoyer pour la conservation des acquis de la démocratie Selon la chanteuse, depuis l'accession du Bénin à l'indépendance, le 1er août 1960, le seul élément qui fait la fierté et le bonheur des Béninois, tant à l'extérieur qu'à l'intérieur du pays, est le processus de démocratisation en cours depuis février 1990. Pour la star internationale de la musique les Béninois doivent oeuvrer davantage afin de préserver les acquis de ce processus de démocratisation contre certains courants maléfiques qui tenteront de les mettre en cause, car selon elle, en dehors des acquis de la démocratie, notamment la liberté d'expression, la pluralité des opinions dont jouissent les Béninois, le pays n'a pas connu d'autres succès, surtout dans le domaine économique.

Ambassadrice du Fonds des Nations Unies pour l'enfance, (Unicef), Angélique Kidjo fait de la scolarisation des filles son cheval de bataille pour la prospérité et la transmission des valeurs et le développement du Bénin et de l'Afrique. Appuyée dans ses actions humanitaires par son Ong Batonga, la chanteuse fait bénéficier plusieurs jeunes écolières du Bénin d'un programme spécial de formation. Elle l'a révélé au cours du méga concert qui a suivi sa décoration le samedi dernier à Parakou en présence du couple présidentiel et de nombreux représentants des institutions. C'est devant un public tellement acquis à sa cause que Angélique Kidjo, après plusieurs années d'absence sur scène dans son pays, a une fois encore partagé sa fougue artistique. Aidé par ses pairs artistes, venus nombreux pour la soutenir, la chanteuse a tenu en liesse les mélomanes pendant environ deux heures d'horloge à travers des anecdotes, des jeux de scènes, des déhanchements, des démonstrations de danses et surtout par sa voix grave et pertinente faisant d'elle l'amazone moderne du Bénin, la plus connue à travers le monde. Née le 14 juillet 1960 à Ouidah, Angélique Kidjo, est auteur, compositeur et interprète de grande réputation et ses influences musicales sont l'afrobeat, le zouk, la rumba congolaise, le jazz, le gospel et la musique latine. C'est dès l'âge de six ans, que Angélique chante et danse dans l'ensemble artistique que sa mère dirigeait à l'époque. Mais, 1989, marque le réel début de sa carrière solo. Cette année-là, sort l'album considéré comme le tout premier entièrement conçu par la chanteuse «Parakou». A travers la multitude d'influences présentes dans cet album, Makossa, zouk, soul, reggae et surtout jazz, Angélique Kidjo effectue un travail de synthèse musicale qui ouvre un très large horizon pour l'auditeur. Le succès de l'album est accompagné d'un événement exceptionnel pour la jeune femme. En mai 1989, elle réalise son rêve de toujours en chantant en première partie de Myriam Makeba à l'Olympia à Paris. Et depuis, la chanteuse béninoise n'arrête pas de séduire les mélomanes du monde. Angélique Kidjo, chante d'une voix puissante et limpide, en français, en fon, en mina et en anglais.

vendredi 8 août 2008

Corneille Bientôt en concert à Abidjan !!!


L'une des figures les plus emblématiques du R&B Corneille va bientôt venir à Abidjan dans le cadre d'une tournée Africaine .En effet après avoir été annoncé plusieurs fois dans les coulisses par plusieurs personnes , M. Capricorne YVES DE MBELLA à réussi à signé l'artiste à Montréal le samedi 26avril dernier ( voir photo) pour cette tournée inédite en Afrique.
Nous comprenons mieux tous ces voyages de Mr Nimportequoi Awards dans l'hexagone toujours à la recherche des meilleurs produit et concept pour le continent Africain .

Abidjan le concert de Billy Billy reporté au 22 aout !!!


abidjanshow.ComPrévu pour le 7 août prochain, jour de la célébration de la Fête nationale, le show inédit de Billy Billy, jeune révélation du rap ivoirien, a été repoussé. La cause, la salle prévue initialement pour son spectacle s’est avérée exiguë au vu de la demande des fans selon les responsables de Coast to Coast. Ainsi donc, c’est le 22 août que le concepteur du « Labadigbeu Style » va se produire à la mythique salle Anoumabo du Palais de la Culture d’Abidjan. Ceci permettra à de nombreux fans de l’artiste de mieux communier avec lui pour son premier concert avec son premier album baptisé « Nouvelles du pays »


Notons que, désigné révélation 2008 de la musique ivoirienne lors du « Tiercé gagnant », cérémonie des victoires de la musique ivoirienne, Billy Billy a révolutionné le rap avec un style à mi-chemin entre le hip hop et la tradition africaine. Son concert du 22 août prochain, selon lui, veut célébrer l’indépendance de la jeunesse ivoirienne.

lundi 4 août 2008

Football Thuram met un terme à sa carrière ; « Il y a d’autres choses après le football »

UN MOIS après avoir révélé son problème de malformation cardiaque, Lilian Thuram (36 ans) a annoncé hier, depuis le Parc des Princes, la fin de sa carrière de footballeur. Visiblement ému, l’international français aux 142 sélections a expliqué qu’en raison d’un « coeur épais » et pour préserver ses proches, il préférait raccrocher les crampons après dix-sept ans au plus haut niveau. Quels sont les résultats médicaux concernant votre problème cardiaque ?Lilian Thuram. J’ai le coeur assez développé, il y a un risque. Mais je n’ai pas la maladie génétique de ma mère (NDLR : myocardiopathie hypertrophique) . Au bout d’un moment, le doute a failli se transformer en certitude, mais c’est simplement un coeur un peu trop musclé. Il était difficile pour moi de continuer le football.Avez-vous vraiment penséàpoursuivre votre carrière ?Bien sûr. Si j’ai attendu jusqu’au 30 juillet, c’est que l’envie qui prédominait était de continuer. Si j’avais choisi d’arrêter, je l’aurais dit tout de suite. J’avais besoin de me rapprocher de ma famille et de mes amis. Il fallait prendre du recul pour mener une réflexion sereine. Ce qui est intéressant, c’est qu’aucun de mes proches ceux que j’aime énormément ne m’a dit de continuer.Votre mère a-t-elle fait pencher la balance ?Oui, car c’est la personne qui m’aime le plus et que j’aime le plus. Le jour où j’ai eu la certitude que je n’avais pas sa maladie, je suis allé la voir pour lui dire que j’allais peut-être recommencer le foot pour voir. Elle m’a répondu que cette décision m’appartenait, même si je sentais qu’elle voulait que j’arrête. Le jour où j’ai décidé de stopper ma carrière, j’ai senti un soulagement, qu’elle était heureuse. Je crois que je l’ai rarement vue heureuse comme ça.Que vous a-t-elle dit ?Rien de particulier. C’est dans le comportement. Au moment de me décider, je suis monté dans sa chambre parce qu’elle n’était pas très bien. Je lui ai dit : « Je crois savoir pourquoi tu n’es pas bien. Je voulais simplement te dire que j’ai pris la décision d’arrêter. » Il faut savoir que, lorsque je suis aux Antilles, je me lève tôt. Je fais une balade matinale et, ce jour-là, je vois quelqu’un dans la piscine avec un visage radieux : c’était ma maman. Généralement, elle ne va jamais à la piscine, car elle ne sait pas nager. Là, j’ai compris qu’elle avait eu vraiment peur.« Je viendrai voir le PSG »Après la perte de votre frère Antonio, décédé sur un terrain de basket en raison d’une malformation cardiaque, pouvait-il en être autrement ?C’est un contexte familial où il fallait aller doucement. Quand une mère perd un fils simplement parce qu’il a joué au basket, vous ne pouvez pas l’empêcher de penser qu’il va se passer la même chose pour son autre fils.Qu’est-ce qui vous a également guidé dans votre réflexion ?Je ne pouvais pas donner la garantie au PSG que je serais au maximum. Parce qu’inconsciemment, je crois que le problème est encore là, dans ma tête. Quand on m’a dit cet été que je pouvais recommencer à m’entraîner car mon coeur n’était pas touché, je suis allé courir. Mais, par moments, ça me traversait l’esprit. Et dans le sport de haut niveau, ce type de doute ne peut pas exister.Dans quel état d’esprit êtes-vous à l’aube de cette retraite forcée ?Il y a beaucoup de tristesse. Dans la vie, on préfère toujours anticiper les choses, ça nous permet d’être prêt. Là, ça n’a pas été le cas. C’est un peu rapide, mais il faut analyser les choses, accepter et rester digne, car je sais qu’il y a d’autres choses après le football. A moi d’être à la hauteur.Pourquoi avoir choisi le Parc des Princes pour annoncer la fin de votre carrière, alors que vous n’avez jamais porté le maillot du PSG ?C’était une façon de saluer la manière dont le club s’est comporté. Il n’y était pas obligé. Généralement, si un club s’aperçoit que le joueur qu’il veut acheter a un problème cardiaque, il rompt les négociations et on en reste là.Viendrez-vous voir les matchs du PSG cette saison ?Oui, je viendrai voir les matchs, j’encouragerai et j’espère que je ne critiquerai pas beaucoup.Y a-t-il une frustration de ne pas porter le même maillot que Claude Makelele, pour lequel vous avez beaucoup d’estime ?C’est surtout le fait de ne plus jouer tout court qui me frustre. Je m’étais dit que j’allais jouer deux ans au PSG. Même si j’ai 36 ans et que tout le monde dit que je suis vieux, l’image d’un Maldini à l’AC Milan, je trouve ça extraordinaire.Votre carrière restera associée à l’Italie où, entre Parme et la Juventus, vous avez passé dix ans. Quel souvenir en conservez-vous ?C’est là que j’ai appris mon métier et que j’ai pris conscience que c’était un métier. J’ai eu la chance de croiser des entraîneurs comme Carlo Ancelotti ou des joueurs comme Fabio Cannavaro qui m’ont appris et m’ont inculqué la culture de la gagne.
pour en savoir un peu plus sur ce footballeur au parcours exemplaire et atypique je vous propose de découvrir sa biographie ...
Lilian Thuram né le 1er janvier 1972 à Pointe-à-Pitre est un footballeur international français, qui évolue au poste de défenseur central ou de défenseur droit. Au-delà de sa carrière sportive, il intervient dans la vie politique française, en particulier sur les questions d'intégration, et dans de vastes actions publicitaires. Il est membre du Haut conseil à l'intégration. Ses déclarations vis-à-vis d'hommes politiques de droite et en particulier de Nicolas Sarkozy à propos de problèmes de société prêtent souvent à débat. Thuram arrive en métropole à l’âge de 9 ans, pour vivre dans le quartier des Fougères à Avon près de Fontainebleau où il jouera milieu de terrain offensif pour le club local des Portugais de Fontainebleau, puis au Racing club de Fontainebleau et à Melun où il croisera Claude Makélélé. Il débute sa carrière professionnelle avec l'AS Monaco en Première division.Il est le compagnon de Karine Le Marchand. Son cousin, Yoann Thuram, évolue au poste de gardien de but dans l'équipe réserve de l'AS Monaco. 2006-07 :: 3EME COUPE DU MONDE il participe, en Allemagne, avec l'équipe de France à sa troisième coupe du monde (après celles de 1998 et de 2002 au Japon et en Corée du Sud). Le bon parcours des « Bleus », auquel il a largement contribué, lui permet de disputer une deuxième finale de coupe du monde contre l'Italie. L'équipe de France s'incline finalement 3 tirs aux buts à 5, le privant ainsi de la possibilité de soulever une seconde fois le trophée.Quelques jours après la finale, Lilian Thuram revient dans un long entretien accordé au magazine culturel Les Inrockuptibles sur l'incident qui a opposé pendant les prolongations le capitaine de l'équipe de France Zinedine Zidane au joueur italien Marco Materazzi. Il condamne le geste de son capitaine, mais dit le comprendr2006-07 :: IL QUITTE LA JUVENTUS il quitte la Juventus de Turin reléguée en Serie B avec 17 points de pénalisation à l'issue du procès des matchs truqués qui a secoué le football italien. Il rejoint le FC Barcelone pour deux ans où il est cependant souvent remplaçant, barré par Carles Puyol et Rafael Márquez, 2006 :: IL RESTE EN EQUIPE DE FRANCE Après la finale de la coupe du monde de football 2006, Thuram décide finalement de rester en équipe de France, sûrement jusqu'à l'Euro 2008.A l'instar de Jocelyn Angloma qui a rechaussé les crampons à l'âge de 41 ans, Thuram a affirmé sa volonté de jouer une fois sa retraite professionnelle prise, pour l'équipe de Guadeloupe de football.2005-08-07 :: CONVOQUE PAR DOMENECH Il ressort de sa retraite internationale un peu à contre-cœur, pour répondre à une convocation du sélectionneur Raymond Domenech, suivant de peu en cela Zinedine Zidane. Il évolue cependant désormais en défense centrale, poste qu'il a toujours occupé en club (notamment dans le Calcio) et qu'il affectionne plus que celui de défenseur droit.2004-07 :: IL METS FIN A SA CARRIERE INTERNATIONALE suite à l'échec de la France au Championnat d'Europe, il décide de mettre un terme à sa carrière internationale, pour se consacrer à son club, la Juventus. Il est alors nommé au FIFA 1002002 :: 2EME COUPE DU MONDE Lors de la Coupe du monde 2002 et de l'Euro 2004, l'équipe de France n'arrivera pas à rééditer ses exploits de 1998 et 2000.2001 :: JUVENTUS DE TURIN il signe à la Juventus de Turin pour 36,6 M€. Lors de son passage à Parme, il va former avec l'italien Fabio Cannavaro, l'une des meilleures charnières défensives du Calcio.2000 :: CHAMPIONNAT D'EUROPE il remporte le Championnat d'Europe des Nations organisé en Belgique et aux Pays-Bas. Ce sera la dernière compétition où l'association Thuram-Desailly-Blanc-Lizarazu sera aligné. Ce sera aussi le dernier titre international remporté avec la sélection 1998 :: CHAMPION DU MONDE Retenu dans la sélection pour la Coupe du monde 1998, il devient mondialement célèbre suite à son doublé (deux buts inscrits) en demi-finale de la coupe du monde de football 1998 contre la Croatie (2-1), ses seuls buts en Bleu en 138 sélections . Il reçoit la légion d'honneur suite à la victoire en finale de Coupe du monde.1996 :: IL QUITTE LA FRANCE il quitte la France pour la Serie A italienne en signant à Parme 1996 :: DE 1996 A 2000 il va former avec Laurent Blanc et Marcel Desailly au centre et Bixente Lizarazu en arrière gauche, l'une des meilleures lignes de défense du monde. Lorsqu'ils étaient alignés ensemble en équipe de France, les quatre joueurs n'ont jamais perdu un match.1994 :: SELECTIONNE EN EQUIPE NATIONALE Sélectionné en équipe nationale depuis 1994, il ne devient réellement titulaire au poste d'arrière droit qu'à la retraite de Jocelyn Angloma, guadeloupéen comme lui, en 19961990 :: SES DEBUTS PROFESSIONNELS Il débute sa carrière professionnelle avec l'AS Monaco en Première division. bravo lilian et pliss foss. kimbé rèd. pa ni problem !!!

Joey Starr: un loup doux comme un agneau Plus de peur que de mal pour ce jeune homme au volant de sa voiture, mercredi, en plein Paris!!!

Oubliant le frein, il a percuté une belle cylindrée devant lui. Sort alors du véhicule le rappeur Joey Starr, qui, après avoir jaugé l'étendue des dégâts, a simplement rédigé, d'un calme olympien, le constat d'assurance avec ce dernier. L'auteur de l'accident en aura eu pour sa dose d'émotions à la vue du rappeur, mais tout s'est réglé sans le moindre problème.En marge de cet incident, JoeyStarr retrouvera son complice Kool Shen à la rentrée pour une tournée de reformation de NTM. Après cinq shows prévus au Palais omnisports de Paris Bercy les 18, 19, 20, 22 et 23 septembre, le duo partira en province et s'arrêtera notamment à Marseille, Strasbourg, Bordeaux, Toulouse, Montpellier, Lille, Bordeaux, Lyon et Nantes.

vendredi 1 août 2008

Après son dernier Olympia, Emeneya attendu au Zénith le samedi 4 octobre !!!

King Kester qui se dit victime d’une campagne de diabolisation se dit prêt à confondre ses “ détracteurs ” dès la sortie de DVD de son concert à l’Olympia. King Kestel à l'Olympia“ J’ai une grande nouvelle à vous annoncer. En effet suite à la réussite de mon dernier concert de l'Olympia, le producteur Dario Kindongo vient de décider de me produire au Zénith le 4 octobre ”. Déclaration de King Kester Emeneya qui par ailleurs s’interroge : “ Mais alors pourquoi parle-t-on d’échec au sujet de mon concert de l’Olympia ”. Et de poursuivre, inconsolable et déçu :“ Je suis victime du tribalisme, de la diabolisation de la part de certains médias qui m’en veulent. Par ce comportement ils rendent aux artistes un mauvais service”. King Kester a fait cette déclaration en réaction à certains articles parus dans la presse ces derniers jours au sujet de sa dernière sortie à l’Olympia de Paris en France où il s’est produit le 12 juillet dernier.

Pour le “ Grand Nkukuta ” actuellement en tournée au Canada après l’Olympia, il s’agit d’une grande campagne de diabolisation qui prend place dans la musique congolaise et qui n’avancera nullement cette musique.

L'Olympia, a-t-il insisté, était un concert réussi malgré seulement 3 semaines de publicité alors que pour certains grands noms de la musique occidentale qui se produisent dans cette salle, la campagne de publicité dure une année et même plus.

“ Nous en 3 semaines de publicité seulement nous nous sommes produits devant 2300 spectateurs dont plus de 1950 se sont acquittés régulièrement de leur droit d’entrée, sur les 2500 places que compte cette salle. Et puis encore, pendant cette période, la ville était quadrillée par les forces de sécurité, à cause de certains événements politiques qui y ont été organisés. Ce qui est normal. Mais lorsque plus de 1950 personnes se décident de se rendre à la production de Victoria, c’est que quelque part, ils reconnaissent nos valeurs artistiques. Donc n’eut été ces mesures de sécurité, on aurait fait plus. L’Olympia refuserait du monde ”, souligne-t-il.

Mettant au défi ceux qui doutent, il promet : “ Les images de ce concert qui seront bientôt commercialisées parleront d'elles- mêmes ”, estimant lui-même : “ c'était l'un des meilleurs concerts de ma vie ”.

En ce qui concerne le programme de son groupe, le patron de Victoria Eleison a expliqué que celui-ci se trouve actuellement au Canada. Il s’est produit le dimanche 20 juillet à Toronto dans le cadre d’un festival, devant plus de 12.000 personnes.

Le deuxième concert a eu lieu à Montréal le samedi 26 juillet. D’après les mélomanes c'était le concert le plus réussi de tous les Congolais qui se sont déjà produit dans cette ville.

“ Cette production s’est déroulée dans une salle de 500 places et j’ai pu réunir autour de moi près de 450 mélomanes. Je suis le premier artiste congolais à avoir réalisé un tel exploit dans cette salle. Fally, JB Mpiana et autres qui sont déjà passés par là n’ont pas eu en face d’eux plus de 250 spectateurs. Mon troisième concert au Canada se joue ce samedi 2 août à Toronto et le 4ème et dernier aura lieu ce 3 août à Ottawa.